por Luiz da Nóbrega em Quinta, 9 de maio de 2013
Je divague dans les prés comme le bétail dans les ouvertes alpages,
je essaie de me trouver en une seule phrase;
mais
tout de suite
j'ai perdu la page.
Je grignote, un peu par ci, un peu par là,
sans métode ni science
et puis
mon impatience
me dis que il faut aller en contrebas
je vagabonde en dispersion
cherchant des raisons
qui n"existent pas
c"est comme ça, parfois je me sent vivant
tout près de l'aube,
et après je baguenaude
je fais des efforts et je me force
à reconnaittre mes torts, à écorché mon écorce,
quoi que je dise ou je fasse, avec n"importe qui
très vite je pars à la derive, je me lasse
je vais dire ailleurs, pour qu'ils sachent que
ce n'est pas pareille ici
mais j'avance
sans une molècule d'espérance, j'avance
je essaie de me trouver en une seule phrase;
mais
tout de suite
j'ai perdu la page.
Je grignote, un peu par ci, un peu par là,
sans métode ni science
et puis
mon impatience
me dis que il faut aller en contrebas
je vagabonde en dispersion
cherchant des raisons
qui n"existent pas
c"est comme ça, parfois je me sent vivant
tout près de l'aube,
et après je baguenaude
je fais des efforts et je me force
à reconnaittre mes torts, à écorché mon écorce,
quoi que je dise ou je fasse, avec n"importe qui
très vite je pars à la derive, je me lasse
je vais dire ailleurs, pour qu'ils sachent que
ce n'est pas pareille ici
mais j'avance
sans une molècule d'espérance, j'avance
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